Pascale, mon amie que je surnomme la Re-belle a accepté de parler d’amour pour nous.
Ce que la maladie nous prend et nous offre, la quête d’un autre qui est comme chercher le meilleur de soi en passant peut-être par le pire. L’amour aussi qui éclot et qu’il faut trouver lorsqu’un enfant arrive, toujours singulier, nous rappelant l’imprévisibilité de la vie et la nécessité d’accepter notre propre vulnérabilité.
Et avec sensibilité, elle évoque finalement la difficulté à s’accepter tel qu’on est, à s’aimer. Et qu’un ami peut parfois être un joli miroir pour voir en soi, l’infinie beauté.
