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Le cinéma face ou contre pouvoir(s)?

Le cinéma face aux pouvoirs, au pluriel, je précise, c’était une des thématiques du festival Premiers Plans qui se déroulait la semaine dernière sur Angers. Vaste question… De quel cinéma parle-t-on au fait ? Bien sûr pas forcément celui d’Elia Kazan, réalisateur ô combien talentueux, mais aussi tête de gondole de la chasse aux sorcières communistes d’Hollywood au début des années 50. Il aura beau le regretter plus tard, le mal était fait. Sans doute pas non celui produit par les différentes propagandes étatiques au cours des époques.
On le sait l’importance de l’art, notamment du cinéma pour se forger un esprit critique, chopper d’autres sources d’informations, prendre du recul, ne date pas d’hier. En ces temps agités, ou la société de l’image est reine, l’importance d’un média comme le cinéma est immense. Mais le 7e art est-il totalement libre ? Face à quels pouvoirs au pluriel peut-il s’opposer ? Est-il un contre-pouvoir ou un pouvoir tout cours ?

Pour vous donner des clés de réponses à ces questions notre invité était :

  • Louis Mathieu de l’association Cinéma Parlant

Egalement,

Des extraits d’interview de :

  • Neil Beloufa, réalisateur de Continental
  • Ogjnen Glavonic, réalisateur de Depth Two
  • Hugo Rousselin, réalisateur de Viré

 

  • Un micro-trottoir réalisé par Camille
  • La chronique de notre contextualisateur, Thibault
  • L’écho poétique et musical d’YVes-Henry Guillonnet
  • La chronique d’Axel sur le thème de la prochaine émission.

 

 

 

Photo : http://www.vodkaster.com/films/le-dictateur/2465

Playlist :

The World to Come > Frederika Stahl /

Big Time > Peter Gabriel /

Impro en direct > Yves-Henry Guillonnet /

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